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La présidente de l’Université Lumière Lyon 2 s’exprime au sujet des migrant.e.s squattant un campus

Envoyé par Utilisateur anonyme 
Cher.es collègues,
Cher.es étudiant.es,

L’amphithéâtre C du campus Porte des Alpes (bâtiment H) est occupé depuis jeudi dernier par des migrant.es sans abri. Quelques étudiant.es les accompagnent et des collègues sont aussi allé.es à leur rencontre. Nous tenons à vous informer de cette situation et des démarches entreprises jusqu’à ce jour.

Une majorité de ces migrant.es fait partie de celles et ceux qui ont été expulsé.es, en milieu de semaine dernière, de campements situés à la Part-Dieu. Toutes et tous, mineur.es pour certain.es, sont dans des situations particulièrement difficiles qui requièrent toute notre attention.

Nous avons contacté au plus vite des associations et services médico-sociaux, les collectivités locales ainsi que la Préfecture. L’une de nos priorités est de trouver un lieu plus adéquat pour héberger ces personnes, et avant toute chose pour accueillir une famille avec deux enfants scolarisés. Les hébergements d’urgence sont cependant actuellement saturés et il semble peu probable que des solutions puissent être proposées dans les prochains jours.

L’absence de prise en charge de ces migrant.es par les institutions et organisations compétentes nous amène à devoir composer avec une situation qui n’entre en rien dans le cadre de nos missions. Nos locaux, pas plus que l’activité et l’organisation des services de l’université, ne permettent un hébergement dans de bonnes conditions. Toutefois procéder à une réquisition de la force publique en l’absence de solution alternative pour l’accueil de ces personnes ne nous semble pas souhaitable dans la mesure où l’occupation des locaux reste compatible avec les missions premières de l’établissement.

Cette situation appelle réflexion et engagement, à la fois de l’institution et de l’ensemble de celles et ceux qui en font partie. En premier lieu, il est de la responsabilité de l’établissement que l’accueil provisoire dans nos locaux se déroule dans des conditions satisfaisantes d’hébergement, d’hygiène et de sécurité. Aussi nous attachons-nous à trouver les réponses les plus appropriées pour proposer un accueil décent tout en préservant nos activités d’enseignement et de recherche et les conditions de leur réalisation. En second lieu, nous en appelons à votre soutien individuel et collectif pour répondre de manière solidaire à cette situation et pour faire en sorte qu’elle se passe dans les meilleures conditions pour tou.tes.

Nous vous remercions, et continuerons à vous tenir régulièrement informé.es.

Bien sincèrement,

Nathalie Dompnier
Remplacisme et écriture inclusive : les deux sont liés (même passion pour l'indifférencié, même égalitarisme forcené : il faudrait creuser ça...).

Il n'échappera à personne que ce point minuscule n'est plus, desormais, le seul en lice... Parenthèses, lettres majuscules, points bas, traits d'union, barres obliques s'invitent aujourd'hui dans les textes, voire les mêmes signes redoublés ("certain-e-s"), et même d'improbables constructions comme celle-ci, lue ce matin dans un courriel : "des utilisat-eur-rice-s".
Le pacte islamo-féministe dans toute sa splendeur. Nathalie frétille d'aise à l'idée de maintenir au chaud, au sein du nid universitaire qu'elle dirige, des petits migrants qui sont en même temps des surmâles appelés à régénérer un Occident vidé de toute volonté de perdurer.

La biologie se fiche des origines, d'Hitler, de Taylor et des classes sociales. Elle fait ce qu'elle a à faire, sous nos yeux.
Une professeure, sur RTL, (une femme, donc, ... ), disait qu'elle ne s'interdisait aucun sujet dans son cours d'éducation sexuelle. La sodomie y était abordée le plus naturellement du monde.
(promis, juré)

Nous pouvons donc considérer:

- l'éducation inclusive.
- l'instruction inclusive.

- l'écriture inclusive.

...

- les populations inclusives


Définition : L'inclusif, c'est comme l'encens de nos églises et de nos cathédrales d'antan. On en prend plein les narines.
 
 
Il y a quelque chose de réellement désespérant dans le spectacle offert par l'université française (et occidentale sans doute), bien résumée par cette femme qui a été élue par ses pairs pour en présider une des constituantes importantes. Jusqu'à une époque récente, l'université avait toujours été le bastion de la haute culture, et l'on ne pouvait lui reprocher qu'un léger excès, parfois, d'académisme et de conservatisme (scientifique et culturel) — c'est qu'une nouveauté devait avoir fait ses preuves avant d'y être admise comme vérité. Aujourd'hui elle est à l'avant-garde de tous les désastres. Il faut beaucoup d'optimisme, de courage et d'acharnement pour ne pas penser qu'il y a là quelque chose d'irrémédiable, d'irréversible, de fatal. J'ai peur de manquer un peu de tout ça.
Il y a quelque chose de réellement désespérant dans le spectacle offert par l'université française


Malheureusement, il semble y avoir contagion du côté des grandes écoles et de l'ENS-Lyon, comme le montre le site au libellé très cosmo-science UMR 5206 .

L'explication la plus simple étant généralement la meilleure, je dirais que la France se désindustrialise. Ses écoles n'ont plus les moyens financiers et les débouchés d'autrefois, chimie, plasturgie, ..., et donc, elles se cherchent des solutions du côté de l'ingénierie sociale, plus rapide et pas chère.
Pour l'instant, les sciences politiques, la sociologie, mais un jour, on verra surement débarquer la psychologie à l'ENS. Pardon, la géno-psychologie, façon THX 1138.

résumé: quand tout le savoir et le savoir-faire fout le camp à l'étranger, il n'y plus qu'à faire avec le savoir et le savoir-faire qui n'importe pas vraiment.


C'est très curieux, ou disons que le sens du stratagème laisse à désirer... L'Allemagne reconnaît un troisième genre tout en accueillant par millions des identitaires musulmans, et la professeure dont parle Pierre Hergat plus haut veut éduquer sexuellement un public pas exactement peace&love... L'importation massive d'étrangers mâles s'effectuerait aux fins, partagées, et apparemment paradoxales, de remplacement -- par des hommes des vrais -- des lopettes castrées par les féministes mais aussi de transformation psychique des ces mêmes agents de re-virilisation ?... Ces derniers devront, dans ce cadre, connaître, à défaut de les faire leurs, des valeurs et des manières d'êtres qui leur font horreur ?...
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