Le parti de l’In-nocence observe que le gouffre se creuse sans cesse davantage entre les deux réalités, la vraie et la fausse, le réel et le faussel. Dans la première, le prétendu “vivre-ensemble” révèle chaque jour plus clairement sa vraie nature de terreur imposée, de colonisation brutale, de génocide par substitution, accéléré maintenant par le génocide au cou par cou : cent vingt attaques au couteau par jour, jamais vingt-quatre heures sans leur égorgement ou leur viol, la nocence de l’occupant partout, dans les piscines, les centres commerciaux, les transports en commun, sur les plages. Dans la seconde, celle des médias égout central, la France vit sa vie presque normale de nation, nonobstant, la chaleur, les incendies, les pénuries, l’inflation, la dette. On a trop vite enterré la négationnisme du bloc négationniste-génocidaire. Il n‘a fait que se déplacer d’un cran : certes il ne nie presque plus le Grand Remplacement, puisque désormais il s’en targue — ce sont ses conséquences qu’il oblitère, sa consistance qu’il cache.
1854