Mais comment est-il possible de ne ressentir que du mépris, et du mépris seulement, envers les perpétrateurs d'un génocide dont vous seriez le génocidé ?
Cela, tout du moins, pour autant que ce mot terrible de "génocide" ne soit pas qu'une vue de l’esprit, une métaphore, une façon de parler, mais rende compte précisément de l'état de fait que ce mot désigne, dans toute son horreur concrète et physique ?